Episode 13 : Le Nouveau Leadership est Masculin et Féminin
L’histoire de ce podcast commence avec une image qui a fait le tour des réseaux sociaux et qui compare les résultats obtenus dans la gestion de la crise pandémique par des leaders femme et des leaders homme.
Le nouveau paradigme du leadership ne serait-il pas de nous arracher à deux mille ans de dualité limitante, et d’embrasser notre unicité masculine et féminine, que nous soyons homme ou femme ?
Car peu importe votre genre : il y a en vous du féminin et du masculin. C’est ce que nous apprend la philosophie orientale du Yin et du Yang qui considère ces deux éléments constitutifs de tout être vivant et ne contemple son développement durable et sain que dans une cohabitation équilibrée des deux manifestations, eternellement intriquées, d’une même réalité.
Bien plus loin que les préceptes philosophiques, c’est un Frédéric Laloux en personne, auteur du best seller Reinventing Organizations, qui intègre dans sa définition du nouveau leadership opale, degré le plus élevé de l’évolution paradigmatique managériale : un parfait équilibre entre énergies masculines et féminine.
Pour en savoir, profitez de ce nouvel épisode de votre chaine de podcasts : Un Accent sur le Nouveau Leadership !
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Bonjour Iker,
je vous ai vu lors d’une conférence au zénith de Pau et ce jour là, j’ai énormément apprécié l’invitation consistant à retrouver une part humaine dans nos managements en entreprise et dans le sport.
Aujourd’hui, après l’écoute de votre pod-cast N°13, j’apprécierais d’évoquer le paramètre du genre en vous livrant une production écrite que j’ai généré récemment lors d’un échange avec un collègue. Celle-ci fut réalisée avant l’écoute de votre pod-cast n°13 qui évidemment m’invite à reconsidérer lucidement ma position récente, en lui opposant votre puissant point de vue. Énorme merci Iker pour m’avoir permis de trouver une belle part de juste milieu dans ma conviction dorénavant réajustée.
Voici le texte produit il y a 15 jours… « Pour avoir entraîné en basket-ball des filles depuis 4 ans, des hommes auparavant, je crois pouvoir objectiver quelques observations si j’étaye mon raisonnement d’une lecture des 2000 dernières années de notre histoire. Les hommes ont eu la main jusqu’à présent et n’ont jamais pu se départir de l’idée de séduire au travers de leurs performances. Jusqu’à s’exprimer généreusement dans la tyrannie, les Pinochet, Staline, Hitler, Mussolini, Salazar, Franco, Mao, et consort, n’ont jamais invité de Dame dans leur club égotique. L’humanisme n’est pas totalement compatible avec les règnes sans partages et les velléités de conquêtes ou de maitrise. Quasiment tous les dispositifs à fort enjeu tenus par des hommes, sont des scènes de coercition… À la différence des hommes, les Dames font attention aux enfants, à leur avenir, ne serait-ce que parce qu’elles les ont portés…elles en connaissent le prix. Elles ont pour moi un autre potentiel humaniste que nous (même si vous n’allez pas manqué de m’énumérer quelques Amazones), elles sont très souvent consciencieuses, elle sont dures au mal (règles & accouchement), elles sont courageuses dès l’instant où l’enjeu se présente.
N’est-ce donc pas messieurs dorénavant le tour des dames pour que soit porté le flambeau du bon-sens ?
Sommes-nous capables de prôner un avènement urgent des plus inspirantes d’entre elles ?
Pour moi c’est devenu une évidence, tant dans les dispositifs professionnels que je fréquente, se répandent rabaissement, lâcheté, coercition, tyrannie, opportunisme sans scrupule, guerre d’égos, complotisme, arrogance, etc…
Pour conduire l’après, changeons de cocher.